Depuis ses débuts dans les années 90, la géolocalisation de flottes automobiles a considérablement évolué. Les systèmes les plus complets peuvent désormais se connecter aux progiciels de l’entreprise.
Jusqu’à quel point peut-on simplement parler de géolocalisation ? A partir de quand est-il plus correct de parler d’informatique embarqué ?
Fonctionnalités « simples » de localisation
A la base, la géolocalisation se limite à de la pure localisation spatiale : obtenir les coordonnées géographiques d’une cible donnée.
Cette fonction fondamentale de la géolocalisation répond en partie aux deux attentes principales des entreprises qui disposent d’une flotte de véhicules :
- l’optimisation de leur activité : « chasser le kilomètre à vide », etc.
- la diminution de la note de carburant
Visualiser sur une carte en temps réel la répartition de sa flotte de livreurs, dépanneurs, ou autres, permet d’affecter les nouvelles missions aux véhicules à proximité. Cette simple amélioration apporte immédiatement deux bénéfices à l’entreprise :
- gain de temps sur chaque mission, possibilité d’en effectuer d’avantage dans la journée
- baisse de la consommation de gazole
Plus que de la géolocalisation
Les prestataires en géolocalisation pour flotte professionnelle proposent aujourd’hui des services permettant d’optimiser l’activité de leurs clients de manière plus structurelle et à long terme.
Les entreprises qui ne se contentent pas de navigation par satellite, peuvent bénéficier d’une myriade de prestations supplémentaires : suivi d’exploitation, de carburant, de température, du comportement au volant et encore d’autres relevées de données techniques.
Tout ceci grâce à l’informatique embarquée, qui autorise, en plus de la localisation du véhicule, la mesure, l’enregistrement et la transmission d’une multitude de données.
Des capteurs et un boitier électronique sont installés dans les véhicules afin de recueillir ces informations (carburant, vitesse, freinage, etc.) et de les remonter au manager de flotte.
Il est alors possible de procéder à un suivi dans le temps, de comparer et d’agir sur les tendances à améliorer ou corriger. A titre d’exemple, l’identification de types de conduites peu économes ou peu efficaces peut aboutir à une action de formation dans l’entreprise.
Les données recueillies peuvent également rejoindre le système d’informations de l’entreprise et être traitées automatiquement pour certaines d’entre elles. Ainsi, le boitier embarqué peut être relié au chronotachygraphe afin d’alimenter l’ERP social/rh de l’entreprise avec les périodes de conduite, les horaires de pause, etc.
Quel que soit le degré de perfectionnement du système de géolocalisation, sa mise en place est toujours soumise aux conditions de respect de la vie privée édictées par la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés).
Informatique embarquée et géolocalisation de flotte
Depuis ses débuts dans les années 90, la géolocalisation de flottes automobiles a considérablement évolué. Les systèmes les plus complets peuvent désormais se connecter aux progiciels de l’entreprise.
Jusqu’à quel point peut-on simplement parler de géolocalisation ? A partir de quand est-il plus correct de parler d’informatique embarqué ?
Fonctionnalités « simples » de localisation
A la base, la géolocalisation se limite à de la pure localisation spatiale : obtenir les coordonnées géographiques d’une cible donnée.
Cette fonction fondamentale de la géolocalisation répond en partie aux deux attentes principales des entreprises qui disposent d’une flotte de véhicules :
Visualiser sur une carte en temps réel la répartition de sa flotte de livreurs, dépanneurs, ou autres, permet d’affecter les nouvelles missions aux véhicules à proximité. Cette simple amélioration apporte immédiatement deux bénéfices à l’entreprise :
Plus que de la géolocalisation
Les prestataires en géolocalisation pour flotte professionnelle proposent aujourd’hui des services permettant d’optimiser l’activité de leurs clients de manière plus structurelle et à long terme.
Les entreprises qui ne se contentent pas de navigation par satellite, peuvent bénéficier d’une myriade de prestations supplémentaires : suivi d’exploitation, de carburant, de température, du comportement au volant et encore d’autres relevées de données techniques.
Tout ceci grâce à l’informatique embarquée, qui autorise, en plus de la localisation du véhicule, la mesure, l’enregistrement et la transmission d’une multitude de données.
Des capteurs et un boitier électronique sont installés dans les véhicules afin de recueillir ces informations (carburant, vitesse, freinage, etc.) et de les remonter au manager de flotte.
Il est alors possible de procéder à un suivi dans le temps, de comparer et d’agir sur les tendances à améliorer ou corriger. A titre d’exemple, l’identification de types de conduites peu économes ou peu efficaces peut aboutir à une action de formation dans l’entreprise.
Les données recueillies peuvent également rejoindre le système d’informations de l’entreprise et être traitées automatiquement pour certaines d’entre elles. Ainsi, le boitier embarqué peut être relié au chronotachygraphe afin d’alimenter l’ERP social/rh de l’entreprise avec les périodes de conduite, les horaires de pause, etc.
Quel que soit le degré de perfectionnement du système de géolocalisation, sa mise en place est toujours soumise aux conditions de respect de la vie privée édictées par la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés).
Avez vous deja un systeme de geolocalisation ?